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NICE KINESIOLOGIE

 

INFLUENCE A DISTANCE


Tout ce qui vit sur terre est influencé par le champ magnétique terrestre. Les pierres, les brins d’herbe comme les animaux, de la fourmi à l’éléphant et bien sûr les humains, tout baigne dans ce champ.

Chez les humains le champ électromagnétique le plus important n’est pas celui du cerveau mais celui du cœur. Les champs terrestre et humain ont d’ailleurs une forme semblable. Ces deux champs ont une influence mutuelle.

Le champ magnétique terrestre est lui-même sous la dominance des taches, tempêtes, éruptions solaires, autrement dit du champ magnétique solaire. Ces éruptions solaires influencent, exacerbent les comportements humains. Une étude américaine a mis en relation l’expansion des taches solaires et les périodes de grande créativité, d’innovations humaines, ou de révolutions moins pacifiques.

Tout est relié, du plus lointain au plus proche de nous. La voie lactée influence le soleil qui influence la terre qui influence les humains, par leurs champs électromagnétiques respectifs.

Cela a été vérifié le 11 septembre 2001. Les satellites qui surveillent le champ magnétique terrestre ont enregistré un pic quinze minutes après les attentats. Quinze minutes, le temps que la nouvelle se répande dans le monde entier. C’est donc un pic émotionnel, de frayeur, de colère, de compassion. L’énergie du cœur de millions de personnes, relayé par le champ magnétique terrestre a été enregistré par les satellites. Nos émotions influencent le champ électromagnétique terrestre.

Le projet américain « initiative de cohérence globale », essaie de promouvoir la paix et la coopération dans le monde, au travers de la pratique de la cohérence cardiaque individuelle (une technique qui permet d’abaisser le niveau stress). Cohérence personnelle, cohérence sociale, cohérence globale, cohérence individuelle, cohérence sociale, cohérence global… indéfiniment.

L’énergie du cœur est à l’œuvre dans toutes les approches des guérisseurs de toute tradition, depuis la nuit des temps. Cette énergie cardiaque peut avoir une influence à distance. C’est l’exemple bien connu des barreurs ou coupeur de feu, pratiquant « le secret », et qui agissent à distance sur des brulures de personnes hospitalisées, avec des résultats spectaculaires en matière de douleur et de cicatrisation. Aujourd’hui, beaucoup d’hôpitaux proposent de faire appel à leurs services.

En dehors de cet aspect énergétique, sur le plan psychologique, nous savons depuis S. Freud et C. G. Jung, que l'inconscient nous agit, tant sur le plan personnel, familial que collectif et met notre individualité à rude épreuve. Là encore nous sommes reliés.

Soigner à distance peut paraitre « bizarre » mais on vient de voir que l’explication par le champ magnétique terrestre qui nous relie tous, sans exception, est on ne peut plus scientifique, basique, loin de toute approche mystico-ésotérico-new age.

 

INFLUENCE À DISTANCE (suite)

Nous avons tellement développé notre individualisme que l’idée d’être reliés aux autres nous semble pour le moins bizarre, ou insupportable, voire impossible. Pourtant dans l’article précédent nous avons pu vérifier que nous sommes tous reliés par le champ magnétique terrestre qui nous stimule ou nous déséquilibre. Ce n’est pas tout, il y a d’autres expériences qui vont dans ce sens, il y en a beaucoup. En voici quelques exemples…

PROJET DE LA CONSCIENCE GLOBALE

Cela commence à la fin des années 70, à l'Université de Princeton, aux États-Unis, où Einstein passa une bonne partie de sa carrière. Le professeur Émérite Robert Jahn se demanda si l'esprit pouvait influer un générateur de nombres aléatoires (GNA). Il a donc demandé à des étudiants volontaires de se concentrer sur une telle petite boite noire. Résultats : la conscience humaine pouvait effectivement agir sur le GNA, donc modifier son environnement. Dans les années 1980, le docteur Roger Nelson, de la même université, repris l'expérience en plaçant les GNA au milieu de groupes de méditation. Les résultats furent semblables. Et cette série d'essais marqua le début du projet d'étude de la "conscience globale", (Global Consciousness Project).

Une quinzaine d’années plus tard, Roger Nelson et son équipe, développa le projet à l’international. Il envoya ses boites noires dans une centaine centres de recherche tout autour de la planète et développa un serveur Internet afin de collecter les données en temps réel. En septembre 1997, le système était en place : chaque seconde, les GNA opéraient 200 tirages aléatoires binaires (une sorte de pile ou face où la pièce de monnaie est remplacée par un électron), 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Moins d'une semaine après la mise en service du système planétaire, les graphiques montrèrent une déviation de leur trajectoire moyenne, un pic, pour redevenir normaux ensuite.

Que s’est-il passé ? Un milliard de personnes dans le monde ont suivi l'enterrement de la Princesse Diana, en direct. Une semaine plus tard, la même chose se reproduit pour les cérémonies d'adieu à Mère Thérésa. Et on observe tous les ans, une vingtaine d'évènements planétaires qui agitent les GNA. Avec parfois des surprises énormes, en analysant les données du 11 septembre 2001 les chercheurs trouvèrent une bizarrerie : les graphiques ce jour-là montrent une déviation débutant 4 heures avant que les deux avions touchent les tours du World Trade Center, donc avant même que les terroristes soient montés dans leurs avions. Une erreur, un bug, un artefact, une mauvaise interprétation ? Apparemment pas. Car dans les derniers jours de l'année 2004, les boites noires se sont affolées, cette fois vingt-quatre heures avant le tsunami qui a coûté la vie à 220 000 personnes.

La probabilité globale pour obtenir de tels résultats par le hasard est de l'ordre de 1 sur 1 million. Autant dire quasi-nulle. Les perspectives sont extraordinaires, mais ce projet pose plus de questions qu’il n’obtient de réponses, car l’interprétation des résultats reste difficile, et il peine à trouver des financements pour continuer.

L’HYPOTHÈSE GAIA

Depuis les civilisations précolombiennes, en Amérique du sud il y a la Pachamama, la Terre Mère. Chez les Grecs anciens, Gaïa (ou Gé) est la déesse mère. Cette planète est un être vivant, c’est l’hypothèse Gaïa que l’on doit à James Lovelock décédé à l’âge de cent trois ans le jour de son anniversaire (26 juillet 1919 – 26 juillet 2022). Initialement ingénieur chimiste, puis professeur de chimie, docteur en médecine, il s’est ensuite spécialisé dans l’élaboration et le développement d’outils de mesures de grande précision, notamment dans le domaine de la pollution.

En 1960, la Nasa l’invite à concevoir des instruments permettant de prélever des éléments du sol de Mars. Il procéda à différentes expériences, afin d’observer si sur cette planète, on trouvait ou non des traces de vie. « Il est apparu que l’atmosphère de Mars était complètement équilibrée, et qu’il n’y avait pas de vie. Or, sur la Terre, il y a une atmosphère extraordinaire, avec un gaz très réactif, l’oxygène : elle devrait être très instable, mais elle reste pourtant toujours au même niveau, favorable à la vie. Vous pouvez en déduire que quelque chose doit la réguler pour que ça reste constant ».

C’est cette capacité d’autorégulation de divers paramètres essentiels qui est le cœur de l’hypothèse Gaïa. Ce qui irrita quelques scientifiques, mais sa démonstration est imparable. Comme pour les mammifères, Gaïa bénéficierait d’une sorte d’homéostasie, phénomène réservé habituellement aux êtres vivants.

Pour le philosophe des sciences Bruno Latour, « la proposition théorique de Lovelock a la même importance dans l’histoire de la connaissance humaine que celle de Galilée ».

L’hypothèse Gaïa pourrait aussi constituer un début d’explication de ce que nous avons vu précédemment, le projet de la conscience globale.

Sans surprise, les grandes Traditions ont compris de longue date la puissance et l’ampleur de ces relations au sein du vivant. « Ce que tu fais à l’autre tu le fais à toi-même ». D’âme à âme…

L’UNIVERS ET LE CERVEAU HOLOGRAPHIQUES

Le cerveau holographique de Karl Pribram est à l’heure actuelle, un des modèles les plus pertinents.
Classiquement, le cerveau stockerait les informations en mémoire dans des petites cases, à l’image d’une bibliothèque (des aires dédiées et leurs neurones – appelé théorie des traces cérébrales). On peut aussi faire le parallèle avec le disque dur, ou la mémoire vive d’un ordinateur.

Mais tout cela s’est révélé faux, ces théories sont réfutées depuis longtemps, même si elles continuent d’être enseignées. L’expérimentation sur l’animal a démenti définitivement la théorie des traces et touche de plein fouet la pertinence cartésienne habituelle. Paul Piestch, (détracteur de K. Pribram) biologiste à l’université d’Indiana, voulu valider la théorie des traces. Mais en expérimentant sur l’animal, en voulant démolir la théorie du cerveau holographique de Karl Pribram, il finit par prouver le contraire. Ce qui est vrai pour un ordinateur est faut pour l’humain.

Dans le modèle holographique appliqué au fonctionnement du cerveau, chacune de ses parties pourrait redonner la totalité de l’information. Une expérience de laboratoire montre qu’un rat amputé de 90% de son cortex visuel est toujours capable d’exécuter des tâches demandant des compétences visuelles. Le cerveau traiterait l’information grâce à une modalité d’hologramme interne. Avec ses milliards de neurones et leurs connexions électriques, le cerveau pourrait être à même de créer des franges d’interférence de type holographique qu’il serait capable de relire pour retrouver la totalité de l’information. La lecture holographique cérébrale ressemblerait à un logiciel (la conscience) traitant des informations… Mais reste LA question : qui a conçu ce logiciel ?

La théorie du cerveau holographique de Karl Pribram permet entre autre, d’expliquer la fantastique capacité mnésique du cerveau. John von Neuman a calculé la somme moyenne des informations stockées dans nos cellules cérébrales durant une vie humaine, soit environ : 2,8 x 1020,, autrement dit deux cent quatre-vingt milliards de milliards de données (280 000 000 000 000 000 000). C’est peut être beaucoup pour notre petite boite crânienne.
La rencontre de K. Pribram avec le physicien américain David Bohm, qui travaillait de son côté sur l’hologramme, ouvrit d’autres perspectives. C’est en étudiant le concept de l’interconnexion des phénomènes quantiques, puis la physique des plasmas que D. Bohm a développé le concept d’univers holographique. Loin d’être une élucubration, il s’agit de physique de pointe. Si l’univers dans sa manifestation repose sur des principes holographiques, il semble naturel que notre cerveau fonctionne de manière semblable. De ce point de vue, nos cerveaux construiraient mathématiquement la réalité concrète en interprétant les fréquences venant d’une dimension transcendant le temps et l’espace.

Le cerveau est un hologramme interprétant un univers holographique.

 

LES CHAMPS MORPHOGÉNÉTIQUES DE RUPERT SHELDRAKE

C’est Alexander Gurwitsch qui le premier proposa en 1922, le concept de champs morphogénétiques qui fut repris et étayé par Rupert Sheldrake.

Les champs morphiques seraient, pour faire simple, la mémoire de l’espèce. Il s’agirait de champs qui ne seraient pas formés de matière et auxquels toute forme, qu’elle soit animale, végétale, minérale, voire même psychologique ou comportementale, obéirait du fait même de sa nature. Ces champs morphogénétiques seraient régis par diverses lois de résonance. L’une d’elle indique que plus la matérialisation d’une des formes serait fréquente, plus la mémoire serait renforcée, sans aucune contrainte d’espace ou de temps. Autrement dit, dès qu’une action s’est produite, elle aurait un effet direct sur la mémoire de tout représentant du même champ, et plus le nombre de répétitions de cette action serait important, plus la mémoire se fortifierait.

Pour appuyer ses idées il relate le cas des mésanges bleues d’Angleterre qui ont appris à percer la capsule des bouteilles de lait déposées par le laitier. Cet apprentissage s’est propagé dans toute l’Angleterre et dans d’autres pays. Il parle aussi de l’expérience célèbre des rats de Mc Dougall qui a duré vingt ans. Ces rats devaient choisir entre deux sorties, la première éclairée, mais associée à une décharge électrique et l’autre très sombre, mais indolore. Au départ il fallut 165 erreurs avant de sortir, mais à la trentième génération il ne fallait plus que 20 essais. De plus il reprit l’expérience à 20 000 km de là, en Australie, pour constater que les rats australiens avaient appris de leurs congénères anglais, sans jamais se rencontrer.

D’après Sheldrake, la télépathie serait liée aux champs morphiques. Il expérimenta aussi avec un perroquet newyorkais possédant un vocabulaire d’environ 700 mots. Sa maîtresse avait remarqué que souvent l’animal donnait le mot avant qu’elle lui présente l’image. Sheldrake mis le perroquet seul dans une pièce sous l’objectif d’une caméra. La maîtresse s’installa à l’étage en-dessous après lui avoir manifesté son intention de l’exercer au vocabulaire. Elle regardait les images et on voyait si le perroquet percevait l’information. Il réussit une fois sur quatre, alors que statistiquement il n’aurait dû le faire qu’une fois sur quatre mille images.

Sheldrake a publié une dizaine de livres où il énumère des séries très longues de faits réels qui ne sont pas démontrables par la physique, ni toute autre science actuelle. Il tente de montrer que les techniques scientifiques actuelles sont trop matérialistes et basées sur peu de choses comparativement à tout ce qu’on ne sait pas encore. Par exemple, dans « Sept expériences qui pourraient changer le monde », il se penche sur plusieurs cas inexplicables par la science : les animaux domestiques qui sentent le retour de leur maître, le sens de l’orientation des pigeons, l’organisation des termites, la sensation d’être observé, les membres « fantômes » ressentis après amputation, la variabilité des constantes fondamentales de l’univers et les effets des attentes des expérimentateurs.
Je vais m’en tenir à ces quelques approches, mais il y en a plein d’autres :

De manière non exhaustive, la télépathie (Rhine) et la vision à distance (remote viewing), notre ADN et sa capacité à se connecter au multivers ainsi que les neurones miroirs, les expériences de mort imminente (NDE). Ervin Laszlo et l’univers informé, les recherches de Nassim Haramein ou de Philippe Guillemant. Etc…


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Et pour finir deux images. Un coin de l’univers vu par le télescope optique Hubble et le même coin de l’univers observé par le télescope Chandra X-Ray qui enregistre l’énergie.


Il y a bien des façons d’être relié.

 

 

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