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VIRUS


Initialement, ce qui suit n’avait pas d’autre vocation que de m’aider dans ma propre réflexion. Je souhaite qu’il en soit de même pour vous.

Alors quelle est la leçon de cette épidémie ? Que peut-on essayer de comprendre à ce bouleversement planétaire ? Que sait-on des virus ? Virus, la vie ruse parfois pour nous donner une leçon de vie…

LES VIRUS DU POINT DE VUE DE LA BIOLOGIE
Du point de vue de la biologie universitaire, ils sont à l’origine de maladies virales. Depuis la fin du 19ème siècle il a été répertorié environ deux cents espèces pathogènes, avec un caractère de gravité plus ou moins grand. Etant donné le grand nombre de virus c’est un petit pourcentage. Autrement dit la plus grande partie des virus n’est pas redoutables.

La structure génétique du virus est très rudimentaire. Leur génome est constitué d’un ou deux brins, soit d’ADN, soit d’ARN. Ce matériel génétique est encapsulé dans une capside de protection de forme tubulaire ou hélicoïdale. Cette dernière a la structure d’un polyèdre régulier, un icosaèdre formé de triangles équilatéraux (20 faces, 12 sommets, 30 arêtes). Cette forme particulière, constituée de protéines, confère une grande stabilité (c’est la structure des nouveaux ballons de football). Certains virus possèdent une membrane périphérique supplémentaire, comme un manteau, le péplos. La présence de ce péplos (grippe, herpès)  rend le virus plus fragile, car cette membrane est facilement dégradable par l’organisme, par exemple dans le tube digestif et par l’environnement externe (chaleur, sécheresse). Les virus dits nus, possédant une capside et une structure icosaédrique mais pas de péplos sont plus résistants (poliomyélite).

La classification des virus se fait par ces trois critères : ADN ou bien ARN, capside tubulaire ou icosaédrique, présence ou absence de péplos. Mais peut-on classer les virus dans les êtres vivants ? Longtemps la réponse fut non. Du fait qu’un virus est incomplet en lui-même, il lui faut un hôte pour pouvoir se multiplier. Mais depuis la découverte de virus géants possédant une multitude de gènes, pour la plupart inconnus, la réponse est moins simple. Un virus n’est pas toujours vivant, mais il peut le devenir s’il trouve un hôte pour l’abriter. Comme une graine de plante qui est potentiellement vivante.

On observe la présence de virus chez des personnes malades, mais sont-ils pour autant les vecteurs de la maladie, en sont-ils la cause ou la conséquence ? Pour la médecine oui, ils sont considérés comme des parasites du fait même de leur structure, puisqu’ils ont besoin d’un hôte pour pouvoir développer et répliquer leur structure génétique. Les virus sont présents partout, aussi bien chez les animaux que chez les plantes, jusqu’aux algues, champignons, bactéries.

LES VIRUS DU POINT DE VUE D’ANTOINE BECHAMP
Le professeur Antoine BECHAMP (1816 / 1908) peut être considéré comme un des meilleurs biologistes de tous les temps. Ses recherches scientifiques sont prodigieuses et jettent un doute sur notre compréhension de la biologie. Les travaux de Béchamp montrent que la vision pasteurienne est erronée et conduit aux dérivent actuelles. La découverte majeure d’Antoine Béchamp est celle des microzymas qui sont les briques fondamentales du vivant. La pensée de Béchamp peut se résumer ainsi : « rien n’est la proie de la mort, tout est (la proie) de la vie ». Il a posé les bases d’une BIOLOGIE DU VIVANT.

Mais pour commencer voici son CV qui en dit long :

  • Agrégé en Pharmacie,
  • Licencié ès Sciences Physiques,
  • Docteur ès Sciences Physiques,
  • Docteur en Médecine,
  • Professeur de Physique et Toxicologie de l’École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg,
  • Professeur de Chimie Médicale et de Pharmacie à la Faculté de Médecine de Montpellier,
  • Doyen de la Faculté libre de Médecine et de Pharmacie de Lille,
  • Professeur de Chimie Organique et de Chimie Biologique à Lille.

Bien avant Béchamp, Hippocrate avait suggérés les microzymas : « dans l’intérieur du corps, existe un agent inconnu qui  travaille pour le tout et pour les parties, qui est à la fois un et multiple ». Ces microzymas ont porté et portent différents noms :

  • Granulations microscopiques,
  • Somatides, (Gaston Naessens)
  • Endobiontes, (Günther Enderlein)
  • Nanobes ou nanobactéries (géologues contemporains)
  • Mycoplasmes (Luc Montagnier).

Les microzymas sont la base de la vie, il n’y a pas de vie sans microzymas. Je disais précédemment les virus sont partout, chez les animaux et les plantes, il faudrait dire les microzymas sont partout. En tant que briques fondamentales du vivant ils ne peuvent qu’être partout. Ils créent la vie et pour cela se transforment sans cesse. Notre cerveau analytique a du mal avec ce genre de chose qu’il ne peut pas mettre définitivement dans la même case. Mais se transformer, s’adapter, changer, est une caractéristique du vivant.

Une illustration des microzymas en transformation est le fonctionnement des cellules souches, appelées aussi cellules mères. Cellules littéralement extraordinaires, présentes aussi bien chez les animaux que chez les plantes. Capables de se répliquer à l’identique, à l’infini, comme de créer des cellules spécifiques pour former différentes parties d’un organisme, depuis l’embryogénèse et tout au long de sa vie. C’est un niveau d’organisation supérieur, sur la base des capacités de transmutation et d’expression des microzymas qui s’associent pour donner des cellules souches, puis des tissus, des organes…

Les microzymas sont des microcellules de 30 à 60 nanomètres (milliardièmes de mètre) de diamètre, limitée par une membrane. Ils sont les bâtisseurs de la vie et construisent les organismes complexes, synthétisent les enzymes ou zymases (d’où leur nom) permettant les réactions chimiques, les combustions et la respiration au cœur des organismes vivants…
Béchamp a démontré que ce sont les microzymas qui s’assemblent pour élaborer les bactéries, les microbes, les champignons qui sont des outils de guérison endogènes, et non des ennemis à combattre en provenance de l’extérieur. Ce sont les microzymas que l’on prend le plus souvent pour des virus.

Leur membrane contient un cristal de silice, très probablement le seul réceptacle des informations génétiques héréditaires. Ce cristal de silicium pourrait être la base de ce processus d’information, comme les puces électroniques, dans les processeurs de nos ordinateurs. Et il semble évident que le milieu aqueux dans lequel ils baignent est le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniques et électromagnétiques, et aussi des informations émotionnelles. Plus récemment, un autre grand savant Jacques Benveniste, avait expérimenté sur la mémoire de l’eau. Ça lui a couté une fin de carrière prématurée. On va donc trouver des microzymas dans tous les fluides du corps, y compris le liquide céphalorachidien dans lequel baigne notre cerveau.

D’après les rigoureux travaux d’Antoine Béchamp, les cellules se forment par les microzymas. Pour qu'une cellule naisse, il n'est pas besoin d'une cellule antérieure. Le microzyma et le milieu créé par son activité chimique au sein de la masse qui le contient, suffisent. On peut dire qu’il n’y a pas de virus, il n’y a que des microzymas, prenant toutes sortes d’aspects différents que l’on appelle des virus, des bactéries, des microbes, des cellules, des tissus…
Les microzymas sont nos amis, mais alors pourquoi « tombons-nous » malades ?

LA PSYCHOSOMATIQUE INDIVIDUELLE
Pour essayer d’y voir clair il faut s’intéresser au travail d’un autre grand savant, le docteur Hamer. Il a posé un autre regard sur les mécanismes biologiques. Globalement, hormis les empoisonnements et les carences, toutes les pathologies sont d’origine psychosomatique.

Pour le docteur Hamer les réactions biologiques que l’on appelle des maladies sont des tentatives pour préserver la vie. D’où la formulation provocante, « la maladie est la meilleure solution du cerveau ». Mais on pourrait simplement parler d’adaptation au stress.

Nous vivons continuellement toutes sortes de stress, plus ou moins importants que nous gérons avec plus ou moins de facilité. Lors de stress majeurs il faut trouver des solutions fortes. Ce sont des programmes de survies, appelés à tort maladies.

Je ne vais pas reprendre les découvertes de Hamer. Cependant, il a bien montré que le corps pour guérir, en fonction de la nature embryologique des tissus d’un organe,  fait appel à des microbes, des bactéries, des champignons… Il a démontré que chacun avait un rôle bien particulier, prédéfini et intervenait à bon escient. Puisque nous l’avons vu ce sont des microzymas qui déconstruisent ou construisent un organisme, les approches de Béchamp et de Hamer disent la même chose. Hamer venant compléter la compréhension de Béchamp, en apportant l’aspect psychosomatique. La guérison ne sera complète que si le problème psychosomatique est réglé, ne générant plus de sur-stress et pour cela il faut impérativement changer les conditions de vie qui ont amené la personne à ce niveau de sur-stress.

LA PSYCHOSOMATIQUE SOCIETALE
Les ressorts psychologiques sont plus ou moins les mêmes partout dans le monde. La mondialisation a amplifié le phénomène. Nos sociétés sont devenues de plus en plus anxiogènes et mortifères. On assiste partout dans le monde à une révolte des peuples qui en ont assez de subir une vie qui leur échappe.
Le corps social est malade et la maladie apparait dans le corps physique. C’est, à mon avis, le sens d’une épidémie/pandémie. Le monde étouffe sous la pollution, la pression sociale augmente, les libertés fondamentales sont sans cesse réduites, on ne peut plus respirer… pas étonnant que les poumons soient touchés !
Les gouvernants ont perdu le gouvernail et le bateau va à la dérive. Les médias amplificateurs du stress créent une épidémie de peur.

Il se pourrait aussi qu’au-delà de l’humain, notre Terre, Gaïa, ne supporte plus nos agissements et commence à se gratter là où ça la démange. A force de la maltraiter il se pourrait qu’elle nous secoue un peu. Il serait temps de changer nos comportements.

Certains pensent que du fait de la trajectoire de la Terre dans l’univers, nous sommes bombardés d’une grande quantité d’énergie inhabituelle qui oblige les terriens que nous sommes à changer, à nous adapter, à nous transmuter. Le niveau vibratoire de la Terre s’élevant, les terriens tant bien que mal, doivent élever le leur pour survivre.

Il semble que cela aille de pair avec une élévation du niveau de conscience. L’étape de la création d’une conscience individuelle est réalisée, il faut maintenant élargir notre conscience à l’humanité, réconcilier l’individuel et le collectif. Etre à la fois soi-même et ensemble.

LE CHANGEMENT
La vision de notre science médicale se veut cartésienne, mais elle est pasteurienne et formatée par l’influence des lobbies. Pasteur a pour le moins « emprunté » à Béchamp (et à beaucoup d’autres), mais n’a pas tout compris, loin s’en faut. Pour le dire autrement, Pasteur s’est trompé, ce qui induit de fait que notre science actuelle se trompe ! La légende veut que sur son lit de mort, Pasteur ait dit : « Claude Bernard avait raison : le microbe n’est rien. Le terrain est tout. »

Au sein même du vocabulaire pasteurien, se trouve les ingrédients de la peur liée à la guerre – on est agressé par un virus qui envahit notre corps, débordant notre système de défense. Or la peur nous rend moins efficace pour garder notre équilibre psychobiologique et rester en bonne santé. On pourrait même parfois mourir de peur !

De tout temps et particulièrement en ce moment, la peur est LE problème. Tous les « chefs » petits et grands l’on utilisée pour gouverner, c'est-à-dire diriger les peuples dans la direction qu’ils souhaitent. Peur d’un virus portant couronne, peur de la 5G, peur de la crise économique mondiale, peur de ne pas avoir de masque, peur de manquer de papier toilettes… Les chaines d’infos en continue complotent à générer encore et encore de la peur.

A l’inverse de Pasteur, Antoine Béchamp a démontré scientifiquement tout ce qu’il a découvert. Tout est prouvé. Pour le progrès de l’humanité, la science de Béchamp devrait remplacer la soi-disant science de Pasteur. Il s’agit d’un changement de société, de valeurs et de priorités.

L’unité fondamentale du vivant par le biais des microzymas fait que nous sommes tous reliés. Ensemble nous co-créons le futur. Ce qui se passe aujourd’hui est une bonne nouvelle, le futur de  peur programmé est en train d’agoniser. Ne mettons pas d’énergie dans cet ancien futur moribond en voulant lutter contre. Imaginons et créons un futur lumineux. C’est déjà en place, il faut simplement le renforcer en lui donnant de l’énergie/information. Pratiquons l’aïkido du futur, pas d’ennemi, pas de guerre.

Non, monsieur le président, nous ne sommes pas en guerre. Si nous étions en guerre, ce serait contre nous même, et ce serait la mort assurée. Nous sommes tous construits par nos microzymas, les mêmes pour tous, donc nous sommes tous reliés, formant le grand corps de l’humanité et de plus les microzymas (nanobes) sont quasiment immortels.

Le docteur Hamer a souligné que pour revenir à la santé nous devons obligatoirement passer en vagotonie, notre système nerveux autonome ne peut réparer l’organisme que lorsqu’il est au repos.

Nous ne pouvons guérir que dans la paix.

Confiné à Menton. Le 1er avril 2020
Alain Risi


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